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Né à Casablanca en 1931, Michel Torices Trujillano est autodidacte. Au Maroc, il est tourneur dans une cimenterie. Arrivé à Paris en 1965, il entre dans le domaine de la machine-outil. Il réintègre son ancien groupe cimentier. Chargé de l'exploitation d'une station de broyage en Guadeloupe, il est ensuite muté en métropole dans un service de maintenance, puis dans l'animation de la sécurité/formation du personnel. Il est désormais retraité en Charente. Durant quelques années, il a animé des stages dans un arsenal et assuré des cours d'espagnol dans un centre culturel. Aujourd'hui, il se consacre à la vie associative et au bénévolat. Pour ses loisirs, le théâtre le tenta, pendant huit ans. Son goût prépondérant pour l'écriture lui permet de mettre en pages son ouvrage. Ce roman est...
Né à Casablanca en 1931, Michel Torices Trujillano est autodidacte. Au Maroc, il est tourneur dans une cimenterie. Arrivé à Paris en 1965, il entre dans le domaine de la machine-outil. Il réintègre son ancien groupe cimentier. Chargé de l'exploitation d'une station de broyage en Guadeloupe, il est ensuite muté en métropole dans un service de maintenance, puis dans l'animation de la sécurité/formation du personnel. Il est désormais retraité en Charente. Durant quelques années, il a animé des stages dans un arsenal et assuré des cours d'espagnol dans un centre culturel. Aujourd'hui, il se consacre à la vie associative et au bénévolat. Pour ses loisirs, le théâtre le tenta, pendant huit ans. Son goût prépondérant pour l'écriture lui permet de mettre en pages son ouvrage. Ce roman est construit de bribes de conversations perçues en milieu familial, d'évocations, de souvenirs d'enfance. Scènes plausibles ou imaginaires, en référence à cette famille. Révéler des valeurs, celles qui habitaient l'esprit de ses parents, répondait pour lui à un devoir de mémoire.
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