« J’ai péché par trop de désir. J’aurais pu me contenter du besoin, mais je voulais plus et je suis devenu dépendant de beaucoup de frivolités. Je me culpabilise d’être dépendant de ce qui me rabaisse. Je confonds la virtuel et le tangible, le fantasme et le sentir, les plantes et les oiseaux, les humains et les animaux. J’étais un homme de la quantité, je bouffais tout, je voulais posséder tout, expérimenter tout. J’accuse Ford et Roosevelt ! Ce sont eux qui ont détruit ma libido. Ils ont appris aux marchands comment vendre n’importe quoi à n’importe qui. Je hais tous ceux qui font des cheese à tous les coins de rue. Tout rire sur une pancarte publicitaire est une escroquerie. Toute main tendue par un marchand à un client est suspecte... »