« Je refuse d’ériger ma mémoire en banque de haine. Mes yeux ont tellement ramassé des maux qu’il est plus que temps pour moi de m’en débarrasser à la poubelle publique de ce recueil de nouvelles. Tout ce que je pense et attribue à tort ou à raison à toute fille ou fils des pays voisins nourrit mon cœur et ma vie de drames. Or, j’ai arrêté de laisser ma mémoire s’ériger en poubelle des maux ! »