Friture sur la ligne

- Friture sur la ligne : Des nouvelles qui, pour une fois, sont de bonnes nouvelles ! - Une Hernie dans la chambre : Une histoire de port, avec des personnages aux noms étonnants. Une ambiance lourde et poisseuse. Une histoire de misère avec tous les maux qu’elle génère. Un drame de la condition humaine... - La face cachée de la lune : La violence à son paroxysme. On prend conscience que cette fiction n’est que l’ombre d’une réalité parfois plus cruelle encore. - Là-haut, personne ne vous entend crier : Une vengeance diabolique. - Allez, viens Rusty, on s'en va ! Qui sait, en se levant le matin, si cette journée est la dernière qu’il doit vivre. Personne. Sauf le condamné à mort, peut-être. Pourtant il arrive parfois qu’un événement soudain – un grain de sable dans la mécanique, comme on dit – apporte la certitude que la seule fin possible à un mauvais moment passé soit la mort, à très court terme. Les indiens disaient : “C’est une bonne journée pour mourir ”. Mais existe-t-il vraiment des journées meilleures que d’autres ? - Le cheval qui pleure dans le froid : L’Irlande à l’époque de la famine. Une histoire qui raconte ce que les hommes peuvent faire quand la faim fait dérailler leur raison... Et s’il s’agissait-là d’une prémonition ? Au cours des siècles, de semblables drames se sont déroulés. - Monsieur Pouic : Artisan de rêves en tous genres. - L’Aggiornamento de Nooveya : Ici, tout est inventé, les lieux, les personnages, les situations, et pourtant, il nous semble connaître de façon familière cet univers. Une description ironique du progrès et de l’accoutumance qui en résulte. - Alex et Nord Cabrera : Un conte poétique et onirique, un voyage dans l’univers d’une réalité rêvée.