C’est un roman, une fiction peut-être, qui se situe au 19e siècle, entre le sordide – une spécialité dont certains humains sont passés maîtres – et le véritable esprit de justice ressenti par d’autres – mais plus rarissime – et enfin la justice commercialisée des institutions (celle de Napoléon III ou d’autres), celle qui est manipulée par l’omniprésence de la politique et de la finance, sa sœur jumelle, ne faisant rien qui ne soit en défaveur de ses propres intérêts. Il y a aussi dans ce roman une part non négligeable pour l’amour, celui qui ne tient absolument pas compte des différences physiques considérées comme étant des quantités négligeables. Sans oublier l’amour d’une fille pour sa mère et réciproquement. Sans omettre non plus, une part de réflexion sur le destin, celui de Jean Pommier qui s’adresse à tout être humain, en mal d’autoréflexion...