L’acceptation des maux, c’est extirper leur éclat, pour mettre en vers les sanglots. Les peines ont leurs vertus. Certaines souffrances sont salvatrices. Elles révèlent ce qu’il y a de plus riche en nous. Il y a dans les maux, la beauté à puiser, à faire naître, « sous la fleur de nos lilas », « sur les étangs de roses », « dans les énigmes en prose »...