« À la façon des contes et légendes De la jungle africaine et ses mystères, J’aurais tant aimé dire : Il était une fois un immense continent Dont les peuples à la peau de soleil et d’ombre Qui habitaient une terre, à peine plus Grande que le regard des dieux noirs Et qui avait besoin de fraternité et d’amour Et pour ceux qui aiment la vie des peuples Différents. Cette histoire aurait pu avoir L’air d’être vraie et qu’alors on l’aimerait, Stoïque et sans haine, à travers le chaos Des cœurs brisés où les humains grouillent Tels des ferments ombrageux. »