« Deux, comme dans les rêves que je fais, seul, mais, pour et avec toi, mon double. Deux, comme l’idéal que, chaque jour, tu m’inspires. Deux, comme nous ne faisons qu’un, telle une famille soudée par un noyau fusionnel. Deux, comme et parce que deux minutes sans toi, deviennent une éternité. Deux, comme le nombre de coups de foudre que procure à chaque instant ta présence. Deux, comme notre histoire, composée en deux parties. Deux, comme l’antonyme d’isolement. Deux, comme notre amour sans partages. Deux, comme l’aliénation peut découler du manque de l’être aimé et, deux, enfin, comme la meilleure réponse à la compréhension de l’intérieur. »