« Août, l´été bat son plein La canicule suit le soleil sans déclin Ailleurs, des pluies torrides de fer S’abattent sur les pauvres, c´est l´enfer. L´idée surgit pendant ces ballades estivales ; Me rappelant de ma terre sous des coups fatals ; À travers ces parcs fleuris de verdure Je me crois courir dans les steppes pures Dans ces espaces – jadis miens – en proie Absent, je ferme les yeux et l’ubiquité s´accroit. Mon esprit explore ces reliefs rayonnants, Que serpentent ces cours d’eau rafraichissants ; Parcourt ces campagnes aux cases enfumées ; Et respire à grands coups l’air parfumé ! »