I.d'Hocquincourt monte à l'assaut des rites et des mythes (matérialistes, sociaux, religieux, guerriers) pour les ridiculiser, les pourfendre. Il tente de dissiper les brumes ténébreuses des mensonges éhontés qui obscurcissent, voire effacent les miroirs de la vérité « vraie », cette dure réalité qui finit toujours par apparaître avec ses malheurs, sa dévastation et la ruine de l'âme attisés par le contraste stupéfiant entre la pub « chansonnette » et le réel. Il propose comme seule solution légitime au Bonheur la spiritualité : la création littéraire, le souvenir, le rêve, la foi et l'amour de la nature dans une certaine mesure.