Quelle relation existe-t-il entre un plasticien qui se cache derrière le pseudonyme Gielte 146 et un long périple à vélo jusqu’en Toscane, l’Ombrie, l’Émilie-Romagne ? Une rencontre avec la Renaissance. C’est évident. À moins que la transhumance cycliste ait accentué des pensées vagabondes accompagnant dans l’effort, la fatigue due aux kilomètres. Encouragé par Fellini, Pasolini, Le Caravage et autres provocateurs l’accompagnant dans le calvaire du bitume.