Ces poèmes se lisent comme un long blues, l’exil et la perte, la reconstruction nécessaire à la vie, l’envie de continuer coûte que coûte avec une petite lueur au loin qui montre le chemin. Entre espoir et désespoir, la volonté de vivre, la quête d’un ailleurs lumineux. Déracinement, survie, quête Infinie. Quelque part ailleurs, un monde à apprivoiser, un chemin à continuer... « Gris le ciel Jaunes les feuilles L’air se charge de pluie Le vent se lève et te fait signe de le suivre Le canal glisse et emporte ton rêve Passe une péniche chargée de départs. » AC « L’ailleurs est mon désir, on ne meurt pas si tôt. » Francis Combes