En ces temps où la réalité brute nous saute dessus sans vergogne, qu’autant nous la fabriquons, voici qu’un poète rend visite à la poésie surréaliste avec un vrai-faux traité des figures de style automatique. Une façon pour l’auteur, dont les poèmes parus jusqu’alors flirtaient peu avec ce genre littéraire subversif, de s’affranchir donc des règles, et de proclamer la pertinence du mot d’ordre : vive la Révolution sociale !