« Mourir sans laisser de souvenirs, c'est n'avoir point vécu. » Au fil des pages, avec des mots simples et dans un style qui est tout sauf nostalgique, l'auteure nous guide à la rencontre de deux personnages qui ont marqué à jamais son enfance et son adolescence. Le texte fleure bon l'eau de Cologne ambrée et la poudre de riz, la marinade et l'odeur du café matinal, le foin fraîchement coupé ou la pâte à brioche levant au coin du feu. Avec Un discret parfum de souvenirs, chaque chapitre devient la photographie vieillie d'une époque que l'on ne trouve plus sur aucun calendrier.