Quel lien peut-il donc exister entre le décès d'un djihadiste à Palmyre en 2015, la mise à mort rituelle d'un Canadien expatrié sur un site minier diamantifère guinéen en 2002, la décapitation d'un vieux cheminot Afar à Djibouti en 2003 et finalement le sanglant attentat terroriste d'Al Khobar en Arabie saoudite le 26 mai 2004 ? Où débute la fiction et où s'arrête le vécu ? Sans doute le lecteur se le demandera-t-il au fil de cette histoire baignant dans les eaux troubles du commerce des diamants et des armes, si parfaitement bien imbriqués l'un dans l'autre.