« Je l’aimais ainsi, sans limites, sans barrières. Il semblait toujours vivre sur un fil, en plein équilibre entre la réalité et son monde imaginaire. Ses succès n’ont fait qu’amplifier ses extravagances. Il se sentait plus fort, presque invincible. Ses entraînements devenaient de plus en plus rares, espacés, comme s’il pensait qu’il était arrivé au sommet. Mais il avait perdu le contrôle. Ses excès l’avaient conduit à une dépendance qu’il avait toujours refusée. »