Quoi de commun à ces poèmes, courts façon haïkus, à strophes ou à forme libre ? C'est une intimité multiple dévoilée de façon directe ou indirecte, l'auteur se regardant dans le miroir des mots. Il y voit le reflet de paysages maritimes aimés, d'anciennes rencontres et y distingue la trace de ses expériences. Le miroir n'est-il pas un des attributs de la mélancolie ?